Cette fiche thématique vise à présenter :
- Le bilan 2023-2024
- Mise en place d’un cadre d’impulsion et d’action en matière de RSE
- Réduction de l’empreinte carbone de l’UGA
- Réduction de l’empreinte environnementale et préservation de la biodiversité
- Formation, sensibilisation, incitation
- Le programme 2024-2027
- Un enjeu de gouvernance : renforcer l’information et la concertation pour l’élaboration des décisions en matière de transformation écologique à l’UGA
- Un enjeu climatique : réduire l’empreinte carbone de l’UGA
- Un enjeu environnemental : réduire les impacts négatifs de l’UGA sur son environnement naturel
- Un enjeu de diffusion des connaissances : former et sensibiliser à la transition écologique
Bilan 2020-2023
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Durant le mandat 2020-2023, plusieurs actions d’ampleur ont été menées en matière de transition écologique, avec des résultats probants qui ont engagé l’UGA sur une trajectoire de réduction de son impact climatique et environnemental. À partir de 2021, l’UGA s’est dotée d’une vice-présidence « Responsabilité sociétale et environnementale » et s’est fixé des objectifs ambitieux en matière de transition écologique, dans le cadre du Schéma directeur RSE dont elle a été l’une des premières universités françaises à se doter. L’UGA dispose donc désormais d’un cadre d’action solide, dont il faut poursuivre la mise en œuvre de manière déterminée pour accélérer sa transformation écologique.
Le bilan des actions menées entre 2021 et 2023 en matière de RSE met en lumière plusieurs avancées, concernant l’impulsion donnée à l’action de l’UGA (1), la réduction de son empreinte carbone (2) et environnementale (3), et les multiples initiatives en matière de formation, de sensibilisation et d’incitation (4).
Mise en place d’un cadre d’impulsion et d’action en matière de RSE
Sur le plan institutionnel, l’UGA est désormais dotée d’une structure et d’objectifs déterminés en matière de RSE :
- une mission RSE et une Vice-présidence dédiée ont été créées et mises en place en 2020.
- un réseau de 70 référents RSE a été mis en place : ces référents assurent un lien avec les structures (composantes, laboratoires, services…) et accompagnent la mise en œuvre des actions de l’UGA en matière de transition écologique.
- le Schéma directeur RSE de l’UGA, rédigé de manière participative, a été adopté par le conseil d’administration en juillet 2021. Il précise les objectifs à atteindre à court, moyen et long terme en matière de RSE ; il fixe notamment un objectif de réduction de 35% de tous les postes d’émissions de gaz à effet de serre de l’UGA d’ici 2030, par rapport aux niveaux 2019. Le Schéma directeur a depuis été décliné au niveau de composantes comme l’EUT.
Réduction de l’empreinte carbone de l’UGA
Entre 2021 et 2023, l’UGA a engagé de nombreuses initiatives en vue de diminuer ses émissions de gaz à effet de serre (GES).
- Le 2e bilan d’émissions de GES de l’UGA a été réalisé en 2023 et sera désormais actualisé chaque année. Les émissions de GES de l’UGA sont restées stables depuis 2019 (45 000 t.eCO2) mais le bilan est marqué par une évolution significative des postes d’émissions – notamment une hausse de 18% des émissions liées aux achats (hausse essentiellement dues aux travaux de rénovation, qui visent à réduire les émissions futures) et une diminution de 27% des émissions liées à l’énergie (baisse du chauffage et de la consommation d’électricité). L’identification de l’origine de nos émissions est une étape essentielle pour prendre les décisions pertinentes à l’avenir.
- Plus d’une trentaine de laboratoires, sur les 71 que compte l’UGA, ont effectué leur bilan d’émissions de GES. C’est le cas également de plusieurs composantes et services, ainsi que du Collège doctoral.
- En matière de patrimoine immobiliser, le raccordement des bâtiments au chauffage urbain a été entrepris depuis 2022 et devrait conduire, en 10 ans, à diviser par 3 les émissions de GES des bâtiments de l’UGA (remplacement des chaufferies au fioul et au gaz de près de 100 bâtiments). Plusieurs chantiers de rénovation énergétique ont été par ailleurs engagés (la Piscine, l’IUT Génie Électrique, l’Institut Fourrier, le CLV, la Galerie des Amphis, MUSE).
- Depuis juin 2023, l’extinction de l’éclairage nocturne sur le campus, en lien avec le plan de sobriété de l’UGA, génère une diminution de la consommation électrique et des émissions de GES.
- En matière de mobilités durables, plusieurs initiatives d’encouragement des mobilités douces ont été engagées (à l’exemple des challenges mobilité) et la Charte d’engagement pour des déplacements professionnels éco-responsables a été adoptée par le CA en décembre 2023. Les mobilités représentent le quart des émissions totales de GES de l’UGA.
- Enfin, le CA a adopté en juin 2023 la Politique d’achat responsable 2023-25 de l’UGA, qui met en avant la commande publique comme levier d’action essentiel, les achats représentant plus de la moitié (58%) des émissions de GES de l’UGA.
Réduction de l’empreinte environnementale et préservation de la biodiversité
Deux projets essentiels ont été mis en place dans un objectif de préservation des espaces naturels et de la biodiversité du campus de Saint Martin d’Hères :
- le campus est labellisé « refuge de la biodiversité » par la Ligue de protection des oiseaux (LPO) de l’Isère depuis avril 2022, devenant le 1er refuge LPO de l’Isère par son étendue (150 espèces relevées, dont 98 d’oiseaux, sur 180 hectares)
- l’Observatoire de la biodiversité Grenoble Alpes (OBIGA) a été établi en 2022, en partenariat avec l’OSUG et le LECA, afin de collecter et de centraliser des données naturalistes pour mieux connaître et protéger la biodiversité locale (https://obiga.osug.fr).
Plusieurs dispositifs ont par ailleurs été mis en place pour réduire les impacts environnementaux des personnels et des étudiant.es de l’UGA. Parmi ceux-ci :
- en matière de réduction des déchets : le déploiement de poubelles de tri a été engagé en janvier 2023 dans plusieurs composantes, accompagné de la distribution d’un guide des bonnes pratiques – en parallèle d’initiatives de réduction des emballages plastiques à usage unique.
- depuis janvier 2023, la Camio.net, un atelier mobile de réparation informatique pour les étudiant.es, intervient sur les campus de Grenoble et de Valence. Plus de 150 étudiants ont d’ores et déjà bénéficié de ce service.
Formation, sensibilisation, incitation
Enfin, tout un ensemble d’actions ont été entreprises en vue de former et de sensibiliser les personnels et les étudiants de l’UGA à la protection de l’environnement et du climat, et les inciter à la réflexion et au changement de comportement face à l’urgence écologique :
- Déploiement de formations et d’ateliers de sensibilisation des personnels de l’UGA à la transition écologique : avant même que le Ministère de l’ESR ne se saisisse de cette question, l’UGA a conçu un plan de formation (plus de 70 cadres ont été formés en 2023 à la conduite d’une démarche RSE dans un collectif de travail) et de sensibilisation de son personnel (plus de 800 agents sensibilisés par la participation à des ateliers de sensibilisation).
- Organisation de trois rencontres RSE portant sur les mobilités (nov. 2021), le bâtiment (mars 2022) et les bilans d’émissions de GES des laboratoires (juin 2022). Ces rencontres visent à susciter le dialogue entre tous les acteurs et les partenaires de l’établissement sur des sujets en lien avec les objectifs du Schéma Directeur RSE.
- Au profit des étudiants, l’UGA a mis en place l’open badge « S’engager pour les transitions écologiques et sociétales » qui valorise la connaissance de son environnement social et environnemental et la participation active à un projet ayant un impact en matière de RSE. Par ailleurs, la DGD Formation a organisé en novembre 2022 une soirée des métiers de la transition écologique.
- L’UGA a organisé deux « Semaines de la RSE » en juin 2021 et en juin 2022, invitant l’ensemble des étudiants et des personnels à des échanges, conférences et débats pour sensibiliser et fédérer autour du sujet de la transition socio-environnementale.
- La 5e édition du colloque Ecocampus (porté par France Universités et la Conférence des grandes écoles) a été organisée à l’UGA en mars 2023. L’évènement portait sur le thème « Vers des organisations soutenables au service des territoires en transition » ; il a réuni plus de 200 participants et a conduit à l’adoption de 43 recommandations.
Programme 2024-2027
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Face aux bouleversements environnementaux et climatiques auxquels nous sommes confrontés, l’UGA a un rôle central à jouer en matière de transition écologique. L’action en faveur de la protection du climat et de l’environnement est donc une priorité du programme que nous portons. Cet engagement majeur se traduit par un ensemble de propositions dont l’ambition traduit une conception forte de la transition écologique, qui ne se limite pas à de simples ajustements à la marge mais impose une transformation des modes d’action de l’université et de ses personnels.
Dans les semaines qui suivront les élections, l’UGA devra actualiser son Schéma directeur RSE qui fixe les grands objectifs de l’établissement en matière de responsabilité sociétale et environnementale,et adopter son premier Plan de transition présentant les objectifs, les moyens et les actions envisagés pour respecter sa trajectoire de réduction des émissions de gaz à effet de serre. Ces deux échéances nous permettront, à court terme, de poser dans ces documents stratégiques un cadre d’action ambitieux, qui traduira l’ensemble des enjeux liés à la transformation écologique de notre université. Ce cadre sera construit autour de quatre enjeux présentés ci-dessous :
- Renforcer l’information et la concertation pour l’élaboration des décisions ;
- Réduire l’empreinte carbone de l’UGA ;
- Réduire les impacts négatifs de l’UGA sur son environnement naturel ;
- Former et sensibiliser à la transition écologique.
Un enjeu de gouvernance : renforcer l’information et la concertation pour l’élaboration des décisions en matière de transformation écologique à l’UGA
Les décisions en matière environnementale doivent être largement discutées dans le cadre de processus démocratiques qui permettent l’information et la participation de tous les acteurs concernés ; ce point est essentiel pour adopter des mesures justes, adaptées et acceptables par toutes et tous. Pour renforcer la concertation en matière de transformation écologique, nous nous engageons à :
- Mettre en place le Conseil de la transformation socio-environnementale de l’UGA : ce conseil consultatif, composé de personnels et de doctorant.es de l’UGA, sera doté d’un rôle de recommandation et de suivi des politiques de l’UGA en matière de transformation écologique.
- Organiser une convention étudiante pour le climat sur une base annuelle, à l’échelle du grand établissement : la convention, composée d’étudiant.es tiré.es au sort, sera chargée de faire des recommandations sur des thématiques d’intérêt pour l’UGA.
- Mettre en place un Institut Interdisciplinaire de la Transition Écologique à l’automne 2024, qui permettra à l’UGA de disposer d’un espace de réflexion, de conseil et d’expertise, visant à renforcer les liens et à apporter un appui aux multiples initiatives en matière de recherche, de formation et de projets sciences-société qui existent d’ores et déjà dans notre université. La création de cet institut prendra appui sur le processus de concertation engagé à l’automne 2023, qui se poursuit dans le cadre du Groupe de travail actuellement chargé de proposer des recommandations sur les activités, l’organisation et la gouvernance de l’institut.
- Renforcer la communication et l’information en matière de transformation écologique, par l’organisation de points d’information périodiques et une diffusion plus visible des documents stratégiques, décisions et bilans.
- Renforcer les collaborations avec les acteurs publics, les entreprises et les associations du territoire : l’action de l’UGA en matière de transition écologique se conjugue avec celle des autres acteurs du territoire, par exemple dans le domaine des mobilités ou de l’alimentation. La formalisation de ces collaborations permettra de renforcer et de mieux mettre en œuvre les engagements propres de l’UGA. La signature de la Charte d’engagement entre l’UGA et Grenoble Alpes Métropole inscrira ainsi l’action de l’UGA dans le Plan Climat Air Energie Métropolitain.
Un enjeu climatique : réduire l’empreinte carbone de l’UGA
Le bilan 2022 des émissions de gaz à effet de serre de l’UGA témoigne des efforts engagés ces dernières années, en particulier en matière de consommation d’énergie. Il met aussi en lumière les défis à surmonter pour que l’UGA respecte les objectifs de réduction des émissions de GES qu’elle s’est fixés : -35% sur tous les postes d’émissions d’ici 2030 par rapport aux niveaux 2019. Cette trajectoire sera respectée par la mise en œuvre des engagements suivants :
- Accompagner activement les composantes, les laboratoires et les services dans leur démarche de réduction de leur empreinte carbone, en poursuivant la réalisation de leur bilan d’émissions de GES, et en incitant à l’adoption de chartes éco-responsables dans chaque structure n’en disposant pas encore. Cette démarche sera intégrée dans les dialogues de gestion, qui tiendront compte des objectifs établis et des moyens engagés sur la base des bilans d’émissions de GES réalisés.
- Poursuivre la rénovation énergétique des bâtiments et étendre le déploiement du photovoltaïque.
- Réduire les émissions de GES liées aux mobilités, qui constituent ¼ des émissions totales de l’UGA : pour cela, les efforts porteront sur la mise en œuvre effective de la Charte pour des déplacements professionnels éco-responsables, adoptée par le CA en décembre 2023. De manière plus globale, il s’agira de mettre en place un plan de mobilité durable qui couvre les autres formes de déplacements, des personnels (déplacements domicile-travail) et des étudiants (déplacements domicile-études, dont l’impact carbone est en forte hausse depuis 2019).
La question des déplacements en avion à l’étranger des chercheurs et enseignants-chercheurs est un point de débat : ces déplacements sont très émetteurs de GES mais peuvent être importants, selon les disciplines, pour constituer un réseau et diffuser ses résultats de recherche. Chaque laboratoire et composante devra donc, selon son contexte propre, adopter des mesures limitant les transports aériens et routiers pour les missions de ses personnels (par exemple par la définition d’un budget carbone individualisé annuel) et engager une réflexion sur l’accueil des chercheurs invités utilisant ces modes de transport.
- Préciser et mettre en œuvre une politique d’achats éco-responsables : les achats représentant 58% des émissions totales de l’UGA, le plan de transition devra prévoir des objectifs ambitieux fondés notamment sur le réemploi des matériels informatiques et scientifiques.
- Formuler une stratégie numérique responsable de l’UGA.
Un enjeu environnemental : réduire les impacts négatifs de l’UGA sur son environnement naturel
L’un des grands chantiers du prochain mandat sera la restauration écologique des campus universitaires :
- Une réflexion concertée sera engagée sur l’aménagement du domaine universitaire de Saint Martin d’Hères comme lieu de préservation de la biodiversité et de sensibilisation aux questions environnementales. Ce projet sera conçu comme un projet structurant, à élaborer avec les personnels et les étudiants, dans le cadre de projets pédagogiques. Il visera notamment à aménager des itinéraires et des espaces de découverte de la biodiversité, en lien avec l’objectif de préservation du potentiel foncier inscrit dans le Schéma directeur RSE de l’UGA (respect des zones refuge LPO, désartificialisation et renaturation de parcelles, mise en place de corridors écologiques, etc.).
- Les projets de renaturation du campus de Valence et des bâtiments du centre-ville seront poursuivis.
Au-delà de ce projet de moyen terme, d’autres objectifs seront poursuivis :
- Accélérer la politique de prévention des déchets, en poursuivant les actions de réduction des emballages plastiques et le déploiement des poubelles de tri, en mettant en place une recyclerie sur le campus, en concluant un marché pour la réparation des équipements électroniques de l’UGA, etc.
- Promouvoir l’alimentation bio et/ou locale sur les campus, par le développement ou le renforcement de partenariats avec le CROUS et des AMAP locales.
- Soutenir le développement de projets de recherche en lien avec les objectifs de développement durable, en développant notamment un indicateur d’impact environnemental et climatique des projets de recherche, qui devra être utilisé avant toute soumission des projets à des demandes de financement local. La question de la « recherche responsable », qui pourrait conduire à favoriser les recherches centrées sur des enjeux de durabilité, ou à renoncer aux recherches dont les applications pratiques seraient contraires à des trajectoires soutenables, ou encore à refuser d’engager des recherches avec des partenaires extérieurs dont les activités seraient contraires aux trajectoires de développement durable est un point qui ne fait pas consensus dans la communauté universitaire et justifie que soit engagée une réflexion concertée (dans le cadre d’un groupe de travail de la Commission Recherche, et/ ou dans le cadre du futur Conseil de la transformation socio-environnementale de l’UGA).
Un enjeu de diffusion des connaissances : former et sensibiliser à la transition écologique
À l’heure où la désinformation et le greenwashing progressent, il est fondamental que l’université joue son rôle de diffusion de connaissances scientifiques fiables et vérifiables, pour sensibiliser, former et alerter sur l’urgence environnementale. Dans cette perspective, plusieurs projets seront mis en œuvre :
- La formation des étudiant.es : l’action prioritaire, qui sera engagée dès notre prise de fonctions, sera le montage de formations sur la transition écologique pour un développement soutenable (TEDS) visant à intégrer la question de la transition écologique dans tous les parcours de formation de 1er cycle de l’UGA, en réponse au rapport Jouzel-Abbadie « Enseigner la transition écologique dans le supérieur » et aux directives du MESR. La construction de ces formations se fera en concertation avec les acteurs concernés (enseignants-chercheurs, composantes, SETI, DAPI, etc.) et pourra par exemple conduire au déploiement – dans les composantes qui ne se seraient pas encore dotées d’une formation TEDS propre – d’une formation en L2 proposée en partie en présentiel et visant à l’acquisition d’un socle de connaissances, couplée en L3 à des formations sur projets.
Une réflexion sera par ailleurs engagée avec les composantes sur le montage de parcours consacrés à la transition écologique en formation tout au long de la vie, et avec le Collège des études doctorales sur le renforcement de l’offre de formation doctorale orientée vers la transition écologique.
Un appel à projets annuel sera ouvert à destination des étudiants, destiné à soutenir des initiatives étudiantes pour la transition écologique. Cet appel à projets concernera les étudiant.es du grand établissement entre la 2e année de licence et la 2e année de doctorat, en vue de la réalisation de projets financés et intégrés dans leur cursus de formation, et donnant lieu à validation, notation, bonification ou labellisation.
- Les initiatives de sensibilisation des étudiants seront multipliées, en partenariat avec les composantes et les équipes pédagogiques. Ainsi, pourra être organisée, de manière annuelle, une « Journée des métiers de la transformation écologique » qui permettra de présenter les professions établies et émergentes, et les formations associées.
- Le processus déjà engagé de formation ou de sensibilisation des personnels de l’UGA, notamment de l’administration, sera poursuivi. La sensibilisation et la formation des chercheurs, des enseignants et des enseignants-chercheurs seront également renforcées (via par exemple la participation à des ateliers Ma Terre en 180 minutes ou la réalisation de fresques du climat). Une formation dédiée sera également proposée durant l’année 2024 à l’ensemble du personnel de direction et d’encadrement de l’UGA, à l’équipe présidentielle, ainsi qu’à l’ensemble des membres des conseils centraux, afin d’intégrer les impératifs écologiques dans la détermination et la mise en œuvre des politiques de l’UGA.
- Enfin, il est impératif de prendre en compte l’engagement dans la transition écologique dans les processus d’évaluation des carrières, en faisant évoluer les critères et grilles d’évaluation utilisées. Pour les enseignants et les enseignants-chercheurs, des congés pour projet pédagogique (CPP) seront spécifiquement orientés vers la mise en place de projets orientés vers la transformation écologique.